Par Fred dj
Massif : Jura sud.
Style : Alpinisme ; course roucheuse.
Altitude et orientation : 1202m et orientation ouest.
Difficultés :
Intérêt (1 à 5) : 4.
Compagnons du jour : Jean-Claude et Fredo.
Date de la sortie : 17 avril 2023.
Topo : Ici. (Une liste de topos en bas de page qui couvre l'itinéraire parcouru)
Au départ, il était prévu une petite course d'alpinisme en neige, la nivologie défavorable nous a fait opter pour le Salève et l'un de ses itinéraires rocheux.
L'objectif est de parcourir un maximum de spots avec des variantes plus ou moins techniques.
Pour Jean-Claude, ce sera une première...
Notre terrain de jeu.
Mon fidèle compagnon de cordée toujours de bonne humeur.
On s'équipe. (Photo de Jean-Claude)
Première difficulté, le passage dans cette fissure ouverte.
Le Câbles des Etiollets.
Nous avons rejoint l'arête et gravi cette petite longueur en 5a.
Jean-Claude dans ce passage très original mais délicat où il faut s'aider d'un tron d'arbre taillé pour passer la difficulté.
Fredo dans la partie haute du passage.
L'arbre s'est magnifiquement adapté à son environnement en suivant la forme du surplomb.
Paroi du Fromage, très originale falaise à trous.
La Croix de Savoie.
L'accès délicat qui mène au cirque où se trouve le Trou de la Tine.
L'escalade qui rejoint le trou, deux possibilités : (Photo de Jean-Claude)
Nous avons opté pour le deuxième choix.
Le Trou de la Tine. (Photo de Jean-Claude)
Le passage du trou est d'une originalité extraordinaire ; ceci-dit il est très étroit, ne pas hésiter à jeter le sac à dos au fond, ça ne risque rien.
Une vidéo de l'entrée dans le trou.
Vidéos de Jean-Claude.
Jean-Claude et moi-même sur le fameux Bonhomme, l'ambiance y est très aérienne.
Nous arrivons au sommet du Sphinx.
Les vires exposées.
La Grotte d'Orjobet, le dernier spot du jour. Nous avons opté pour un retour par le sentier de randonnée. Pour ceux qui voudraient continuer le crapahut, il est intéressant de finir par les Vires Bütikofer.
Résumé :
On ne se lasse pas de ces sorties dans le Salève. Il est possible en peu de temps de découvrir une multitude de spots plus originaux les uns que les autres.
Les difficultés sont limitées même s'il est indispensable d'avoir le pied montagnard et une bonne appréhension du vide.
L'équipement assez régulier peut-être complété par des sangles autour d'arbres, sur des becquets ou dans les lunules.
Merci beaucoup à mes deux super compagnons pour leur compagnie, à tout bientôt...
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