La Tête du Parmelan : Boucle Bois brûlé > Plateau > Grotte de l'Enfer 3/3

Troisième partie : Traversée du plateau.

La neige est encore bien présente, il faudra se montrer prudent.

Le refuge est déjà loin.

Il y avait un peu de recherche d'itinéraire; c'est quand même mieux de connaitre avant de s'engager ici avec la neige.

Arrivé à l'autre bout du plateau, les zones sèches sont majoritaires.

Balaise le trou, juste à coté du balisage, c'est surprenant quand on arrive dessus.

Quatrième partie : Grotte de l'Enfer > Grande Glacière > retour.

L'entrée de la bouche de l'enfer...

Vigilance...

Attention à la glissade.

Je vais m'arrêter là; je reviendrais avec corde et frontale pour aller plus loin.

Gouffre.

La Grande Glacière; j'ai eu l'occasion de grimper sur cette glace millénaire il y a de cela des années.

Ce lieu magique est à respecter, les règles sont simples; accès interdit d'avril à novembre (en tout cas pour la grimpe), ne rien laisser sur place et rien c'est RIEN, être délicat le plus possible etc...

D'agréables alpages.

Le Chalet de l'Anglettaz est en vue.

Le propriétaire propose des choses à emporter qu'il est possible de manger quelques mètres plus loin.

Après le Petit Montoir, de retour sous les falaises du Parmelan, j'ai vu cette petite faille qui doit mener quelque part; je vais voir...

Et oui, gagné, encore une cavité (la Glacière d'Aviernoz); par contre sans frontale, j'ai pas pu aller bien loin, il faudra revenir.

De jolies voies d'escalade parcours ces grandes falaises, à faire aussi lorsqu'il fera meilleur...

Résumé :

Cette journée de déconfinement a fait un grand bien; j'ai fait une boucle bien plus longue que ce que j'avais prévue au départ; la météo a tenue, donc il fallait en profiter un maximum.

Une fois sortie des sentiers classiques, on peut partir à la découverte d'endroits curieux et variés.

Le niveau global reste raisonnable; malgré tout, il faut se montrer vigilant sur le plateau avec la neige encore bien présente.

De retour au parking, plein de monde, comme quoi tout le monde avait vraiment besoin de s'aérer; à poursuivre...